Ces clichés qui collent au continent africain


Avec son livre « Pourquoi l’Afrique est entrée dans l’Histoire (sans nous) », Sonia Le Gouriellec pousse un coup de gueule contre les préjugés qui entravent tout discours intelligent sur les 54 pays du continent. Et s’attache à les démonter un à un.

Dans son nouveau livre, Pourquoi l’Afrique est entrée dans l’Histoire (sans nous), Sonia le Gouriellec a décidé de pousser « un coup de gueule ». La chercheuse, spécialiste de l’Afrique et plus encore de sa Corne, n’en pouvait plus de ne voir que les livres de Bernard Lugan plastronner dans les rayonnages des librairies dès qu’il s’agit de traiter de l’histoire du continent. Elle ne supporte plus les approximations à répétition des médias, les préjugés caricaturaux enseignés à l’école et les déclarations paternalistes à l’emporte-pièce.

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Le dessous des cartes africaines

Face aux grandes puissances, l’Afrique doit penser par et pour elle-même


La France, la Chine, la Turquie, les États-Unis… Et, désormais, la Russie qui fait un retour remarqué. Le continent est un terrain de luttes d’influence entre les grandes puissances. Si l’Afrique a tout intérêt à jouer de cette diversification de ses partenaires, elle doit prendre garde à ne pas s’y laisser dévorer.

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60 ans d’indépendance, une bande son à réécouter


2020 : réinventer l’Afrique (2/6). Élections cruciales, chantiers économiques, enjeux sociaux et sociétaux… En cette année de célébration des indépendances, quels sont les défis que le continent doit encore relever ? Pendant une semaine, Jeune Afrique vous propose analyses et décryptages.

Le 9 novembre dernier s’éteignait le bassiste Armando Mwango, alias « Brazzos », à l’âge très honorable de 97 ans. Il était l’un des deux derniers musiciens vivants à avoir participé à l’enregistrement du tube congolais Indépendance Cha Cha.

Aujourd’hui, seul le septuagénaire Pierre Yantula Bobina, mieux connu sous le pseudonyme de Petit Pierre, percussionniste et toujours sociétaire de l’African Jazz, est en mesure de raconter la création de ce qui s’est imposé comme un hymne panafricain de l’émancipation.

Devenu chef de quartier de Lingwala, il est un peu tombé dans l’oubli… Il affirme même ne jamais avoir reçu de droits d’auteur. Mais le célèbre refrain résonne toujours dans les mémoires.

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Claudy Siar, de « Couleurs tropicales » au champ politique


 

Ce défenseur des cultures afro-caribéennes anime son émission musicale sur RFI depuis vingt-six ans, tout en faisant de la juste représentation des Noirs de France son cheval de bataille. Il projette désormais de créer son propre parti.

« J’en refuse beaucoup ! », affirme l’homme de radio en évoquant les nombreuses invitations qu’il reçoit. À peine rentré d’un rendez-vous pour préparer le prochain sommet Afrique-France qui se tenait le 8 octobre à Montpellier, Claudy Siar prend le temps de nous accueillir dans son bien confortable appartement parisien situé dans le très chic 16e arrondissement.

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