Elizabeth II et l’Afrique : de la valse avec Kwame Nkrumah au face à face avec Amin Dada


Au cours de ses sept décennies de règne, la reine Elizabeth II s’est rendue dans une vingtaine de pays africains. Des voyages dont il reste des photos qui ont fait le tour du monde, et un héritage politique.

La légende raconte qu’elle a appris la mort de son père, le roi George VI, alors qu’elle se trouvait sur une plateforme hissée au sommet d’un figuier d’où elle observait la vie sauvage, elle, la grande passionnée d’animaux et de photographie.

Nous sommes en février 1952, au Kenya. La princesse Elizabeth effectue une tournée dans plusieurs pays du Commonwealth – cinquante-six, dont une vingtaine de pays africains souverains aujourd’hui –, pour représenter le souverain de 56 ans, atteint d’un cancer du poumon et incapable de se déplacer à l’étranger.

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Elizabeth II et l’Afrique

 

Le cinéma d’auteur africain se réinvente


L’homme semble une montagne en marche. Stanlee Ohikhuare est un géant qui déplace ce matin de juin ses deux mètres et son inexpugnable sourire dans les couloirs d’un hôtel de Bordeaux. Ce Nigérian est très loin de Lagos, où il a créé le Realtime International Film Festival, un événement qui rassemble chaque année près de 10 000 personnes autour de films indépendants.

Stanlee Ohikhuare est un guerrier du 7e art africain. Il faut des convictions solides, et un peu d’abnégation, pour devenir un animateur du cinéma indépendant sur le continent.

Il aurait des raisons d’être plus sombre, lui qui vient d’apprendre la disparition d’un proche. Pourtant, après une poignée de main énergique, le directeur artistique s’anime pour vanter les qualités de sa manifestation. Il termine même l’entretien par une demande de contacts dans le milieu de la production audiovisuelle française pour envisager de nouvelles collaborations transfrontalières.

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Le cinéma d’auteur africain se réinvente

Francophonie : l’OIF confirme la tenue de son sommet à Djerba


Le prochain sommet aura bien lieu en Tunisie en novembre. Et il devrait voir la reconduction à la tête de l’organisation de Louise Mushikiwabo, seule candidate à sa propre succession.

Malgré les rumeurs insistantes qui circulaient ces derniers mois, le 18e Sommet de la Francophonie se tiendra bien à Djerba, en présentiel, les 19 et 20 novembre. Comme une source en interne le confirme, « tout le monde est aujourd’hui d’accord sur le lieu ». Même le Canada, qui avait pourtant plusieurs fois exprimé ses réticences face au choix de la Tunisie, à la suite du virage autoritaire pris par le président Kaïs Saïed depuis un an.

Pas question néanmoins pour Ottawa de repousser davantage ce sommet du cinquantenaire, initialement prévu en 2020 et déjà reporté par deux fois pour cause de pandémie. « Il n’existait pas vraiment d’alternative », selon notre source. Un temps envisagé, celle de Paris a fait long feu alors que la France préférait soutenir à bout de bras la candidature tunisienne, plutôt que de se retrouver à devoir financer elle-même ce sommet.

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