Art contemporain : la foire 1:54 s’installe sur le continent africain


Après Londres et New York, la foire d’art contemporain africain prend ses quartiers à Marrakech, ces 24 et 25 février. De quoi provoquer une ébullition vivifiante, entre conscientisation et transgression à travers l’art, au sein de la ville ocre marocaine.

La fondatrice de la foire 1:54, Touria El Glaoui, l’appelait de ses vœux tout comme les artistes africains qu’elle ne cesse de défendre. C’est désormais chose faite. Le samedi 24 et dimanche 25 février, la manifestation, qu’elle a créée en 2013 à Londres, exportée à New York en 2015, prend ses quartiers à la somptueuse Mamounia de Marrakech, au Maroc. En guise de curateur, Omar Berrada, directeur de la bibliothèque et résidence d’artistes Dar al-Ma’mûn. Sans oublier la participation d’autres institutions de la ville – de la Fondation Montresso à la Galerie Comptoir des Mines en passant par le musée Yves Saint Laurent.

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Mariam Sy Diawara, à propos de l’Africa Web Festival 2017 : « Nous avons eu une affluence au-delà de nos espoirs »

Les jeunes femmes africaines se tournent vers le codage


A l’Université des sciences et de la technologie Kwame Nkrumah, Angela Koranteng était une étudiante accomplie avec un rêve spécial, devenir ingénieur et construire des hôpitaux. Après une série de cours en programmation informatique, génie civil et codage, Mme Koranteng a obtenu aujourd’hui un diplôme et un titre professionnel : codeur africain.

Le codage est ce qui permet de créer des logiciels, des applications et des sites Web. Votre navigateur, votre système d’exploitation, les applications sur votre téléphone, Facebook et les sites Web sont tous créés avec du code. Le codage peut être appris dans une université ou un camp d’entraînement.

Parce que les garçons sont exposés à des problèmes techniques dans l’enfance et que les filles ne le sont pas, peu de jeunes femmes africaines s’imaginent en carrière dans l’ingénierie.

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