Les nouveaux visages de la philanthropie africaine


L’émergence d’une nouvelle génération de super- riches en Afrique a été accompagnée par la croissance soutenue des fondations philanthropiques de style occidental et d’autres formes structurées de don.

Environ 7 milliards de dollars américains sont donnés chaque année par des Africains bien nantis, selon un rapport récemment publié par l’African Grantmakers Network.

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Les secrets de jeunesse des présidents africains


De l’enfance à l’entrée dans l’âge adulte, le champ des mystères, des anecdotes révélatrices et des rencontres formatrices est infini.

Même si, par pudeur, amnésie volontaire ou tout simplement parce que nul ne leur a posé la question, nos chefs d’État africains s’expriment rarement sur ce sujet, ils n’ont pas plus que les autres échappé à ce temps où ils ne doutaient de rien et où, lorsqu’ils faisaient des bêtises, ils pouvaient encore les réparer.

Voici donc, glanés aux meilleures sources, quelques-uns de leurs souvenirs, enfouis au pied du baobab de la mémoire…

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Au Québec, l’affaire est chocolat


Cette expression typique québécoise s’inscrit dans la suite de l’affaire est tiguidou ou même de l’affaire est ketchup, signifiant que les choses ne peuvent pas mieux aller et justement, dans la grande région de Montréal (j’y inclus St-Hyacinthe) le chocolat fait vivre directement des centaines de personnes et certainement des milliers par le biais des impacts économiques.

Il suffit de jeter un œil sur les offres d’emplois des grands de ce monde présents dans la grande région de Montréal pour réaliser l’importance de ce secteur d’activité. Dans un pays sans cacaoyer, c’est quand même extraordinaire. Il y a bien entendu les grands de ce monde, les Barry Callebaut et Hershey Canada, qui sont très présents mais il se développe actuellement tout un marché spécialisé autonome où des petites entreprises se gagnent la faveur des consommateurs. En voici un exemple : J’ai découvert virtuellement, par l’intermédiaire du journaliste retraité et toujours fin goûteur Paul Toutant,  la fabrique AVA NAA de Villeray. Cette entreprise importe directement ses fèves de cacao de l’Amérique centrale.  Quoi de mieux que de citer le site internet :

Nous sommes l’un des seuls au Québec à appliquer l’approche bean-to-bar : importer le cacao, le torréfier, le concasser, le concher (affiner le chocolat) , le tempérer…et sans compromis!

En passant, le nom de l’entreprise vient de l’Inuktitut qui signifie provenir du nord. Les fèves viennent du sud c’est certain mais la fondatrice une géologue convertit en spécialiste du cacao a vécu plusieurs années au Nunavut dans le grand nord canadien. L’entreprise est née d’un voyage qu’elle a effectué au Mexique. Aujourd’hui, elle fait directement affaire avec les cacaoteros. Si vous passez à Montréal, visitez la fabrique au 309 rue Gounod, Montréal


Ce qui m’inspire dans cette aventure de Catherine Goulet c’est son audace et son intuition pour ce marché en croissance des produits dont on connaît l’origine et le trajet jusqu’au comptoir où l’on découvre des saveurs nouvelles. Je séjourne régulièrement dans mon pays d’origine, le plus grand producteur de cacao au monde, et la découverte d’AVA NAA me fait voir autrement le marché potentiel de la première ressource naturelle de la Côte d’Ivoire. Soyez assurés que je visiterai la fabrique de la rue Gounod.  Mariam Sy Diawara.


 Yvan Asselin