L’Afrique est à la croisée des chemins en ce début de XXIe siècle, celui de la mondialisation. Dans le sens négatif ou positif, la globalisation ne laisse pas indifférents les politiques, intellectuels, penseurs et citoyens.
Le tout récent ouvrage, Ecrire l’Afrique-Monde, est d’autant plus pertinent qu’il démontre l’urgence pour l’Afrique d’en être. La période postcoloniale/néo-coloniale n’a pas répondu aux attentes des peuples, car seules les oligarchies profitèrent des indépendances. La perception de l’Afrique par les pays riches a peu changé.
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Le financement des start-up en Afrique subsaharienne fait toujours l’objet de difficultés sans comparaison sur les autres continents.
On évalue les besoins de financement des jeunes pousses africaines à quelque 140 milliards de dollars par an…
Alors que nombreuses d’entre elles disposent de surliquidités en devises, les banques traditionnelles sont particulièrement averses au risque.
Et si les fonds de capital-investissement offrent des perspectives prometteuses, ils sont encore au stade de la petite enfance pour ce qui est du financement d’amorçage dont les start-up africaines ont tant besoin.
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Les entreprises africaines sont prêtes à prendre le train de la révolution numérique, mais à quel prix ? La dernière étude du cabinet PwC «Africa Business Agenda» révèle que la quasi-totalité des dirigeants d’entreprises connaît les risques qui lui sont liés et ont déjà pris les mesures préventives pour conter ce phénomène de plus en plus préoccupant.
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