Sénégal : au sein de la résidence d’artistes Black Rock, des ateliers avec vue à Dakar


Une vue panoramique sur la plage du Virage. Une piscine à débordement qui semble se jeter dans l’Atlantique. Pour sa résidence artistique, Kehinde Wiley a fait dans l’ultra-luxe. Célèbre pour ses portraits des époux Obama, le peintre américain d’origine nigériane a choisi Dakar pour installer sa résidence artistique internationale et pluri­disciplinaire.

Surnommée Black Rock en référence aux roches volcaniques jonchant la plage du littoral nord de Dakar, cette résidence veut être une base à partir de laquelle la créativité ouest-africaine rayonnera et qui permettra au regard que l’on porte sur le continent d’évoluer. « Je veux que le monde tombe amoureux de l’Afrique de l’Ouest » (comme lui lorsqu’il est venu pour la première fois à Dakar, à l’âge de 19 ans), assurait Wiley lors de l’inauguration de Black Rock, le 26 mai. Ce soir-là, la villa a été le décor pour des selfies très people, accueillant des personnalités et des artistes du monde entier, comme le photographe sénégalais Omar Victor Diop, la chanteuse américaine Alicia Keys ou encore la mannequin britannique Naomi Campbell.

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Au sein de la résidence d’artistes Black Rock

Décoloniser les musées (et les esprits) : révolution tranquille à la triennale de photographie de Hambourg


« Currency » (« monnaie ») : aussi surprenant que cela puisse paraître, c’est le thème retenu pour la 8ème Triennale de photographie de Hambourg (Allemagne), qui a ouvert ses portes le 20 mai dans la cité hanséatique. Un vocable a priori économique, donc, pour guider ou orienter les douze expositions au programme de l’événement. Étonnant, peut-être, mais pas insensé dans un monde où le capitalisme dominant est remis en cause à partir de ses marges, et encore moins surprenant de la part de la directrice artistique Koyo Kouoh – qui pilote actuellement le musée Zeitz Mocaa de Cape Town (Afrique du Sud) – et de ses commissaires associés, Rasha Salti, Gabriella Beckhurst Feijoo et Oluremi C. Onabanjo.

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Décoloniser les musées (et les esprits)

Comment sortir l’Afrique de sa dépendance aux céréales importées


Le mil et le sorgho africains ont été délaissés au profit du riz asiatique et du blé européen, accentuant la dépendance du continent aux importations, et l’exposant aux fluctuations des cours sur les marchés mondiaux. Un phénomène encore exacerbé par l’inflation et les conséquences de la guerre en Ukraine. Décryptage d’une dépendance et des pistes pour en sortir.

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Comment sortir l’Afrique de sa dépendance aux céréales importées