Une œuvre d’art africaine dans l’espace


En décembre 2022, une fusée Ariane V lancée depuis Kourou emportera dans l’espace l’œuvre d’un(e) artiste africain(e)… et un satellite de météorologie. Sélection finale le 27 novembre à Rabat.

Mieux que Jeff Bezos, Richard Branson et Elon Musk réunis ! En 2022, ce n’est pas un milliardaire aventureux qui voyagera dans l’espace, mais bel et bien une œuvre d’art africaine.

Après quelques tentatives infructueuses, en Zambie ou en République démocratique du Congo, le continent pourra enfin s’enorgueillir d’avoir hissé ses plus belles couleurs au-delà de l’atmosphère !

Et non, nous ne sommes pas le premier avril : cette idée, saugrenue s’il en est, d’envoyer une œuvre d’art dans l’espace a bel et bien germé dans l’esprit des dirigeants d’African Artist for Development (AAD), en partenariat avec Eumetsat, l’organisation européenne pour l’exploitation des satellites météorologiques.

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Une œuvre d’art africaine dans l’espace

L’art contemporain africain s’offre en beaux livres


Comment faire un beau livre sur les artistes africains modernes et contemporains qui ont marqué et continuent de marquer l’histoire de l’art ? La question peut paraître anodine, la réponse est loin d’être évidente. Si l’on prend le temps d’y réfléchir quelques minutes, la notion même de classement relève du pur casse-tête.

Ranger les artistes en fonction de leur origine nationale et les enfermer, encore une fois, dans des frontières déterminées par l’histoire coloniale ? Diviser le continent en deux – Afrique du Nord et Afrique subsaharienne – en oubliant que le désert fut aussi un lieu de riches échanges ?

Choisir des thématiques ou des techniques qui rassemblent les uns et les autres en oubliant que les plasticiens contemporains aiment à varier les plaisirs ? Opter pour un ordre chronologique montrant les évolutions, avec le temps, des approches ?

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Après le Covid, l’art contemporain africain revient en force

 

 

 

 

L’héritage de Senghor est un cadeau pour l’humanité


Le 20 décembre 2001, disparaissait Léopold Sédar Senghor, premier chef d’État du Sénégal. Vingt ans plus tard, à l’heure où son compatriote Mohamed Mbougar Sarr est célébré par le gotha littéraire mondial, l’œuvre du grand poète et écrivain qui a fait rayonner la langue française, la négritude et l’humanisme reste d’une brûlante actualité. Moustapha Niasse et Jean-François Mbaye lui rendent hommage.

Il y a vingt ans, le premier président du Sénégal tirait sa révérence, après deux décennies passées à la tête de l’État. Pendant sa longue mandature, il a réussi l’exploit d’imposer son pays sur la carte de la planète, ainsi que la culture africaine, dans les cercles littéraires et artistiques.

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Senghor, Hassan II, Ben Ali, Compaoré, Wade, Gbagbo, Ouattara… BBY et les chefs d’État africains

À Paris, la foire d’art contemporain africain AKAA explore le temps


Il est devenu difficile de parler de rendez-vous d’art, de scènes, de spectacles… sans évoquer le Covid-19. Et la sixième édition de la foire AKAA (Also known as Africa), qui a lieu au Carreau du Temple, du 11 au 14 novembre, en est une nouvelle preuve.

D’abord parce qu’en 2020, le confinement lui a volé la vedette deux semaines avant d’entrer en scène. Mais aussi parce que cette année, elle a tenté le coup en dépit du risque de faire face au même destin, et a réussi son pari. Trente-quatre galeries ont fait le déplacement, six n’ont pas pu passer les frontières.

Alors l’édition propose un format hybride, entre présentiel et digital, bien dans l’air du temps.

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