Covid-19 : l’Afrique dans la course aux vaccins


Alors que les campagnes de vaccination contre le coronavirus s’accélèrent à travers le monde, le continent semble à la traîne… Quand les Africains pourront-ils à leur tour être immunisés ? Avec quels vaccins ? « Jeune Afrique » fait le tour de la question.

D’abord, il y a eu Covax, vaste dispositif international censé garantir l’accès équitable de tous les pays au vaccin. Mais très vite, le chacun pour soi et le « nationalisme vaccinal » ont repris le dessus et chacun a compris qu’il lui faudrait se débrouiller. L’Afrique a alors vu arriver ses « amis » chinois, russes et indiens, prêts à lui venir en aide.

Mais en ce début d’année, bien peu sont ceux qui ont effectivement reçu des doses, et plus rares encore ceux qui ont commencé à vacciner. Pourquoi ce retard, quand le continent va-t-il pouvoir s’approvisionner et auprès de qui ? Le tour d’horizon commence avec deux premières questions : quelle place occupe l’Afrique dans le développement et la production des vaccins, et peut-il vraiment compter sur le dispositif Covax mis en place par l’OMS et l’Alliance Gavi ?

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Offre d’emploi


Offre d’emploi : CHARGÉ(E) DE PROGRAMME AUTOCHTONE

Direction du soutien aux artistes, aux communautés et à l’action régionale.

Conseil des Arts et des Lettres du Québec

Le ou la candidat(e) intéressé(e) a  jusqu’au 31 janvier 2021 pour déposer sa candidature par courriel à rh@calq.gouv.qc.ca.

Lieu du travail: Bureau de Montréal/ 1435, rue De Bleury, bureau 300

Catégorie du poste: Professionnel(le)s –syndiqué(e)s

Statut du poste:Régulier / Temps plein (35heures/semaine)

Échelle salariale: 40241$ à 76293$

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Offre d’emploi – Chargé(e) de programme autochtone

 

 

Agribusiness : l’impératif du made in Africa


Mettre en œuvre des politiques proactives de transformation des produits agricoles est le seul moyen de répondre au défi de la création d’emplois, souligne le chef économiste de la BAD, Rabah Arezki.

Le continent s’est engagé dans une ambitieuse zone de libre-échange (Zlecaf) pour stimuler le commerce. Cet accord devrait tirer parti de la demande croissante des consommateurs du continent pour stimuler les investissements en Afrique afin de répondre à cette demande.

Approfondir l’accord conclu en se concentrant sur la transformation des produits agricoles est la meilleure façon de commencer. L’agrobusiness est en effet crucial pour le continent – plus que pour tout autre – en ce qu’il participe à la sécurité alimentaire et à la création d’emplois.

C’est aussi un levier capital pour accélérer la transformation de l’Afrique. Par transformation, on entend ici le traitement physique des matières premières (dont le continent dispose en abondance) qui ajoute de la valeur. Et on évoque souvent la nécessité de remonter la chaîne de valeur pour atténuer les aléas provoqués par la fluctuation des prix des matières premières.

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