Faut-il préférer les chefferies de nos aïeux à des démocraties de pacotille ?


En septembre, toute l’Afrique, du moins celle qui croit en l’équité, était aux anges lorsque le pouvoir judiciaire kényan, usant des prérogatives que lui reconnaît la Constitution, a annulé l’élection présidentielle remportée par le président sortant, Uhuru Kenyatta.

C’était une grande première sur notre continent, où les élections sont toujours contestées. Et nous avions tous applaudi, malgré les propos indignes de Kenyatta – dont le prénom signifie « indépendance », en swahili – à l’égard des juges. Le fils de son père avait sans doute oublié les violences postélectorales durement réprimées par les forces de l’ordre – du désordre, plutôt – et qui ont coûté la vie à une trentaine de Kényans dont le seul tort était de croire en la démocratie.

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LAETITIA NGOTO : AMBASSADRICE DE L’ART AFRO URBAIN


Entrepreneure française d’origine centrafricaine, Laetitia Ngoto est l’initiatrice du festival afro urbain Art’Press Yourself. La 3e édition se tiendra les 3 et 4 novembre au Pan Piper, à Paris, et sera placée sous le signe de l’afrofuturisme.

A l’heure où les festivals dédiés à la culture afro fleurissent dans la capitale, Laetitia Ngoto, 30 ans, a tenté le pari d’investir un marché qu’on pouvait penser saturé. Si le printemps dernier s’est vu placer sous le signe de la création artistique contemporaine africaine via pléthore d’expositions dédiées au genre, et que le bal de la rentrée s’est ouvert avec le festival Afropunk, l’entrepreneure a décidé de prolonger les festivités en novembre. Et de positionner son événement sur la culture afro-urbaine.

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