À Paris, la foire d’art contemporain africain AKAA explore le temps


Il est devenu difficile de parler de rendez-vous d’art, de scènes, de spectacles… sans évoquer le Covid-19. Et la sixième édition de la foire AKAA (Also known as Africa), qui a lieu au Carreau du Temple, du 11 au 14 novembre, en est une nouvelle preuve.

D’abord parce qu’en 2020, le confinement lui a volé la vedette deux semaines avant d’entrer en scène. Mais aussi parce que cette année, elle a tenté le coup en dépit du risque de faire face au même destin, et a réussi son pari. Trente-quatre galeries ont fait le déplacement, six n’ont pas pu passer les frontières.

Alors l’édition propose un format hybride, entre présentiel et digital, bien dans l’air du temps.

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À Paris, la foire d’art contemporain africain AKAA explore le temps

 

 

Restitutions : quand l’Europe tarde à lâcher son butin


La majorité des anciennes puissances coloniales privilégient aujourd’hui une approche au cas par cas, objet par objet.

Concrètement, cela suppose de mener des enquêtes sur l’origine de dizaines de milliers de pièces afin de déterminer leur modalité d’acquisition (butins de guerre, pillages, vols, dons, trocs).

Une gageure, à la fois archéologique et historique, d’autant plus que dans de nombreux cas, les œuvres sont passées de mains en mains, du soldat colonial au marin en passant par les héritiers et les collectionneurs privés avant d’arriver dans les réserves des musées où, aujourd’hui encore, les inventaires sont loin d’être exhaustifs.

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Bénin : après la réception des 26 œuvres, fierté et unité nationale

RDC-Congo : comment la rumba a fait chavirer l’Unesco


Cinq ans après la cubaine, la rumba congolaise a fait son entrée au patrimoine culturel immatériel de l’Unesco. Un projet porté par Kinshasa et Brazzaville, qui n’ont pas ménagé leurs efforts.

En juin 2019, peu avant sa mort, Fumu Fylla, alors président du Comité rumba du Congo, déclarait : « Le rythme de la rumba congolaise est la cadence même du fleuve Congo, avec ses secousses vertigineuses, avec ses élans impétueux et fusionnels. » C’était lors d’une réunion des comités scientifiques des deux Congos chargés d’élaborer le plaidoyer pour l’inscription de leur rumba sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité.

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La rumba à l’Unesco : un pas en avant pour la politique congolaise ?

 

Mafé, couscous, tieboudiène… Ces plats qui font la fierté de l’Afrique


Poulet DG, mafé, couscous, tieboudiène ou ndolè… À défaut de prétendre incarner une haute gastronomie africaine, chacun de ces plats, de la Méditerranée à l’Afrique centrale, est d’ores et déjà certain de demeurer dans l’histoire de la cuisine traditionnelle. Tout comme il peut s’enorgueillir d’avoir planté ses graines sur tous les continents, au gré des migrations. En Afrique, cette grammaire culinaire fait désormais figure d’espéranto.

Ces recettes ancestrales élèvent la nourriture au rang d’art de vivre.

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Ces plats qui font la fierté de l’Afrique