Restitutions : quand l’Europe tarde à lâcher son butin


La majorité des anciennes puissances coloniales privilégient aujourd’hui une approche au cas par cas, objet par objet.

Concrètement, cela suppose de mener des enquêtes sur l’origine de dizaines de milliers de pièces afin de déterminer leur modalité d’acquisition (butins de guerre, pillages, vols, dons, trocs).

Une gageure, à la fois archéologique et historique, d’autant plus que dans de nombreux cas, les œuvres sont passées de mains en mains, du soldat colonial au marin en passant par les héritiers et les collectionneurs privés avant d’arriver dans les réserves des musées où, aujourd’hui encore, les inventaires sont loin d’être exhaustifs.

Voir l’article source :

Quand l’Europe tarde à lâcher son butin

Voir également ;

Bénin : après la réception des 26 œuvres, fierté et unité nationale