Coup de tonnerre au Kenya avec l’annulation de la présidentielle


La Cour suprême kényane a pris vendredi une décision historique inédite en Afrique, en invalidant la réélection du président sortant Uhuru Kenyatta lors du scrutin du 8 août et en ordonnant la tenue d’une nouvelle élection dans les deux mois.

Dès l’annulation pour « irrégularités » de la présidentielle par le président de la Cour suprême David Maraga, des scènes de liesse ont éclaté dans les bidonvilles de la capitale Nairobi et dans l’ouest du pays, des bastions de l’opposition.

Voir l’article source :

coup-de-tonnerre-au-kenya-avec-l-annulation-de-la-presidentielle

 

L’Afrique en villes


Pour raconter un continent qui s’urbanise à grande vitesse, « Le Monde Afrique » vous embarque pour un voyage de Kinshasa, au cœur du continent, à Tanger, aux portes de l’Europe.

Le Monde Afrique a envoyé quinze de ses reporters sur un parcours de près de 10 000 km, de Kinshasa, au cœur du continent, à Tanger, aux portes de l’Europe. Une série publiée tout ce mois d’août, rendue possible par le soutien de l’Agence française de développement (AFD, partenaire du Monde Afrique).

Voir l’article source :

afrique-en-villes-notre-serie-d-ete-en-28-episodes

Où les jeunes de 18-35 ans souhaitent-ils s’installer pour faire avancer leur carrière ?


États-Unis  (avant l’effet Trump…on verra bien)            18%

Canada                                                                                                  12%

Royaume-Uni                                                                                     10%

Le journal Le Devoir souligne que le Canada est le choix le plus populaire parmi les jeunes provenant de l’Afrique subsaharienne, devant les États-Unis et le Royaume-Uni.

Yvan Asselin

 

31,000 milléniaux de 186 pays ont répondu au sondage du Forum Économique Mondial. 81% des jeunes se disent prêts à quitter leur pays pour trouver un emploi ou progresser dans carrière.

Bonne nouvelle : Du chocolat made in Côte d’ivoire


Extrait du texte du journaliste Khadim Mbaye du site la Tribune Afrique

D’abord un rappel :
La première puissance économique ouest africaine est le premier producteur de cacao, avec 40% du marché mondial. Mais le pays d’Alassane Ouattara ne transforme qu’environ 5 % de ses fèves de cacao. Un mal aiguë et un véritable manque à gagner pour l’économie ivoirienne. Les recettes tirées des fèves sont trop maigres parce qu’elles ne sont pas transformées sur place faute d’industrie et de savoir-faire.
Et puis voici ce qui est en train de se produire :
Le mystère du chocolat ivoirien commence à fondre. Les producteurs de fèves ivoiriens veulent aussi devenir de grands transformateurs. Une entreprise locale, l’Entreprise coopérative de Yamoussoukro (ECOYA) a d’ailleurs lancé un projet en ce sens. Après deux ans de dur labeur, les premiers résultats de l’expérience sont encourageants.
ECOYA a présenté ce lundi 28 août ces premières tablettes de chocolat fabriquées en milieu rural près de Yamoussoukro, la capitale administrative du pays. Créée par le groupe de chocolatiers ivoiriens dénommé « Instant Chocolat », l’entreprise vise à transformer 10% de la récolte des planteurs de cacao organisés au sein d’une coopérative. D’une teneur de 75 % d’un cacao certifié, ce chocolat est destiné à la pâtisserie; un produit local moins cher que le chocolat importé, donc plus profitable aux producteurs locaux.
Yvan Asselin