Extrait du texte du journaliste Khadim Mbaye du site la Tribune Afrique
Où se trouve le meilleur conteur africain ?
Selon les juges du volet culturel des Jeux de la Francophonie 2017 tenus à Abidjan, il se trouverait au Congo Brazzaville.
Voici un extrait de la nouvelle rapportée par la journaliste Germaine Mapanga du journal Les Échos :
Triomphe pour Moussoki et son Conte du moustique aux Jeux de la Francophonie à Abidjan en Côte d’Ivoire.
Le Congolais a remporté la médaille d’or dans la catégorie « conteur », devant les guinéens de la Compagnie Arc-en-ciel et la française Najoua Darwiche.
Moussoki avec son « Conte du moustique » a piqué la curiosité du jury et du public.
Ce drôle de farfadet venu du Congo pour raconter l’histoire de deux amoureux qui s’aiment puis s’entredéchirent, ne manque pas de rendre hommage à ses ainés quand on lui demande ce qui l’inspire.
Yvan Asselin
Un peu plus d’eau potable pour les déshérités de Ouaga
Extrait du site de la Banque Mondiale
Grâce au projet pilote de gestion déléguée de l’approvisionnement en eau des quartiers péri-urbains à Ouagadougou, 107 000 personnes parmi les déshérités vivant en milieu urbain dans des quartiers non structurés ont pu bénéficier d’un accès durable à de meilleurs services. Le projet a permis de réduire leurs dépenses mensuelles de 4 dollars à 2,8 dollars (pour recueillir de l’eau au niveau des bornes-fontaines) et à 3,5 dollars pour les branchements domestiques. Ce programme arrive à échéance cette année.
Globalement à Ouagadougou, l’accès à l’eau potable s’est sensiblement amélioré, de 54 % en 2001 à 90 % en 2016 (63 % de personnes étant desservies par des branchements domestiques et 27 % par des bornes-fontaines).
Yvan Asselin
Casser le mythe du « boubou africain »
Pop up Beauty est le rendez-vous de la mode aux tendances afro. Pour cette deuxième présentation, l’événement, qui aura lieu demain au Loft Hôtel (334, terrasse Saint-Denis), propose défilés de mode, conférences, ateliers, brunch de réseautage et kiosques de vente où on pourra découvrir des marques et acheter vêtements, accessoires et bijoux.
« La mode afro est vibrante et colorée, mais aussi plus sobre. Il faut casser le mythe du boubou africain associé à la mode afro, car il y a de très beaux sacs en cuir, robes, jupes et bijoux aux inspirations africaines pour tous les styles de femmes, affirme Honorine Lombolou, fondatrice de Miss Kabi, qui organise l’événement. Les créateurs s’inspirent des coupes et des matières premières de la culture afro-caribéenne », poursuit-elle.
Honorine Lombolou explique qu’aux États-Unis, la mode afro est très présente et vivante, alors qu’à Montréal, elle reste encore très nichée dans la communauté.
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