Hemley Boum : Nous avons besoin d’écrivains afrodescendants !


Entretien avec Hemley Boum, auteure camerounaise reconnue par la critique, qui ancre l’Afrique dans le paysage de la littérature contemporaine.

Née à Douala, Hemley Boum a sillonné le continent d’Est en Ouest pendant 12 ans pour finir par s’installer en France en 2009. Un parcours qui a permis à cette ancienne commerciale en charge de grands comptes d’observer les relations qui s’établissent entre les hommes et les femmes dans la société africaine. Difficile d’imaginer cette spirituelle évoluer pendant sept ans dans le secteur du B to B. Hemley Boum semble flotter au-dessus du monde.

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Le numérique est-il vraiment une révolution pour l’éducation en Afrique?


La révolution numérique en cours dans la région entraîne un foisonnement d’expérimentations intégrant les technologies de l’information et de la communication en éducation (TICE) dans les classes comme hors des classes. Une étude pilotée par l’Agence française de développement (AFD), l’Agence universitaire de la francophonie (AUF), Orange et l’Unesco permet de faire le point sur le sujet.

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Le chocolat québécois


Tout le monde le sait,  il n’y  a pas de cacao au Québec. Par contre, saviez-vous que…

Le Québec représente 60% des exportations canadiennes de chocolat. Barry Callebaut et Belcolade en sont les grands fournisseurs. Et ce  fameux 60 % n’est pas rien puisque le Canada est au huitième rang mondial des exportateurs de chocolat.

Le monde à l’envers, me direz-vous. Selon le ministère fédéral du Commerce international, ses exportations de chocolat et autres produits dérivés du cacao ont atteint, l’an dernier, 2 milliards de dollars canadiens (environ 1,5 milliard de dollars américains) En 2015, grâce à des ventes à l’étranger de 1,4 milliard de dollars américains – soit 5,3 % des exportations mondiales  –, le pays se classait au 8e rang mondial, indique le CCI.

Yvan Asselin

La tsé-tsé n’a pas tué tous les chevaux


(Tiré du site Au cœur des chevaux)

Au Sénégal la race chevaline Fouta est très appréciée pour l’attelage, la monte et le travail. Son nom vient de la vallée du fleuve Fouta Toro au Sénégal. C’est un dérivé de la race Barbe et souvent selon le site on les nomme les Barbes du Sénégal. Ce ne sont pas de très gros chevaux. En fait on parle d’un poney qui mesure jusqu’à 1 mètre 50.

Mais il ne faut pas se fier à sa taille. L’animal est robuste. Il est principalement utilisé pour l’attelage, la monte et le travail.

Et en plus, ce très beau cheval fait l’envie des Chefs, des nobles et est utilisé pour la course

Mariam Sy Diawara