Qatar 2022 : les miracles géopolitiques d’Hervé Renard…


« Le sport ne doit pas être politisé », répètent en boucle ceux qui n’ont pas le cœur à boycotter un mondial de football qatarien indéfendable sur les plans de l’écologie et des droits humains. Il est pourtant des clins d’œil que le sport fait à la géopolitique.

Au moment où des rues sahéliennes souhaitent s’émanciper des expertises françaises, c’est avec l’Arabie Saoudite que le sélectionneur Hervé Renard brille en Coupe du monde. Ce même « sorcier blanc » qui traîna ses guêtres de la Zambie à l’Angola, en passant par la Côte d’Ivoire et le Maroc…

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Afrique : des états généraux pour réanimer la santé


La santé en Afrique vit une période charnière de son histoire. L’essor des maladies chroniques, le vieillissement, la réduction de la durée moyenne des séjours à l’hôpital, la pauvreté – à cause de laquelle la plupart des usagers peinent à se prendre en charge –, les dysfonctionnements d’origine humaine, organisationnelle et/ou technique, l’absence de systèmes de management de la qualité, en sont l’illustration parfaite.

Face à ces faiblesses, auxquelles on pourrait ajouter l’absence d’éthique professionnelle et le peu d’implication de certains acteurs du secteur, il serait urgent d’ouvrir les états généraux de la santé en Afrique. Cela impliquerait, au préalable, la mise sur pied d’un comité consultatif interafricain de santé.

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Afrique : des états généraux pour réanimer la santé

À Harlem, le français fait le poids


 

« Quand j’habitais en Pennsylvanie, j’avais oublié mon français », se souvient Suleimane Niasse, gérant de la pâtisserie Des Ambassades située à l’angle de la 119e Rue et du boulevard Frederick Douglass, à New York.

L’homme d’origine sénégalaise a immigré aux États-Unis il y a plus de 20 ans. En 2007, son choix de s’installer dans Harlem lui a permis, à sa grande surprise, de renouer avec le français, sa langue maternelle avec le wolof.

Les rues de Central Harlem bouillonnent de vie en cette fin d’automne. La musique d’un saxophoniste se mêle au brouhaha des automobiles. Un soleil discret filtre à travers les nuages pour éclairer les façades classiques des édifices de part et d’autre des rues. Des vendeurs offrent mangues, citrons et cacahuètes dans des étals sur les trottoirs.

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À Harlem, le français fait le poids

Tiken Jah Fakoly : « Le Mali a fait le choix de conquérir une deuxième fois son indépendance »


L’auteur de Françafrique (2003) ne lâche rien. Vingt ans après la publication de cet opus, le chantre du panafricanisme ivoirien, qui préfère vivre au Mali, continue de rêver et de défendre une Afrique souveraine et unie. Mais face au recul démocratique, l’éternel optimiste s’inquiète et en appelle au réveil des populations.

Avec Braquage de pouvoir, Tiken Jah Fakoly livre sa recette gagnante et sans surprise, dans un reggae traditionnel nimbé de sonorités mandingues. Un ouvrage rassembleur sur lequel il a convié, gracieusement, les Maliens d’Amadou et Mariam, les Français Grand corps malade et Dub Inc, qu’il espère inviter à La Cigale pour son concert prévu le 3 décembre, et le Jamaïcain Winston Mcanuff.

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« Le Mali a fait le choix de conquérir une deuxième fois son indépendance »