Lancement de la programmation du Mois de l’histoire des Noirs


L’édition de cette année se déroulera surtout en virtuel, contrairement à ce qui avait été prévu au départ. «C’est une année toute particulière, parce que l’année dernière, en 2021, on savait qu’on était en mode virtuel et on s’était préparé à faire une programmation virtuelle, souligne Carla Beauvais. Cette année, malheureusement, en décembre, on pensait encore qu’il y allait avoir des événements en présentiel. Il y a beaucoup d’activités qui ont été proposées qui étaient en mode présentiel et les gens n’ont pas fait le pivot en mode virtuel. Malgré le fait qu’on ait une centaine d’activités au programme cette année, c’est quand même très peu par rapport aux années précédentes.»

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Lancement de la programmation du Mois de l’histoire des Noirs

Voir également les articles suivants :

Un mois d’Histoire des Noirs pour «rebâtir ensemble»

Le Mois de l’histoire des Noirs célébré au petit écran

26 films, dont Apatrides, proposés en ligne par l’ONF

Soulignons le Mois de l’histoire des Noirs

 

 

Lancement virtuel Mois de l’histoire des Noirs /


Nous sommes heureux de vous inviter au lancement virtuel du Mois de l’histoire des Noirs.
Voici le lien direct pour visionner le lancement demain (28 janvier) à 13h30 : Lancement du Mois d’Histoire des Noirs
A demain,
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Hello,
We are happy to invite you to the virtual launch of Black History Month.
Here’s the direct link to watch the launch tomorrow (28 janvier) at 1:30 pm : https://fb.me/e/31PetX9HG
See you tomorrow 
 
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Osvalde Lewat remporte le grand prix panafricain de littérature avec « Les Aquatiques »


Dans ce premier roman d’émancipation, la documentariste et photographe s’attaque aux conventions sociales. Le prix, nouvellement crée par la présidence congolaise de l’Union africaine et doté de 30 000 dollars, lui sera remis au mois de février à Addis-Abeba, lors du prochain sommet des chefs d’États de l’UA. Peu avant cette consécration, JA rencontrait l’autrice.

C’est à la galerie Françoise Livinec, dans un quartier cossu de Paris, que l’on retrouve Osvalde Lewat. Réalisatrice de dizaines de documentaires et photographe, elle y expose « Lumières africaines », extrait de la série Couleurs nuits, d’abord montrée dans les rues de Kinshasa en 2014.

C’est par les arts visuels qu’elle commence à se raconter : « Je consacre du temps aux personnes que je filme et photographie, pour aller au-delà de la rencontre fortuite. L’idée est de décentrer le regard, de ramener la marge au centre, ou de modifier l’idée qu’on se fait de la marge. »

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Osvalde Lewat remporte le grand prix panafricain de littérature avec « Les Aquatiques »

Quand le panafricanisme devient sectarisme


Plus de soixante ans après les indépendances, la forme-État héritée de la colonisation s’est avérée plus résiliente qu’on ne l’aurait pensé. Ses racines plongent désormais dans un humus autochtone. Tout comme d’autres objets d’importation, les Africains ont réussi à en faire quelque chose de profondément syncrétique.

Taillées au vif, les frontières sont, de leur côté, demeurées plus ou moins intactes. Peu de velléités sécessionnistes ont abouti à la formation de nouveaux États. Résultat, les grandes luttes sociales d’aujourd’hui se déroulent prioritairement dans un cadre national, et presque aucune n’a pour visée directe l’unification du continent. D’ailleurs, cet objectif ne figure dans aucune constitution africaine.

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Quand le panafricanisme devient sectarisme