L’animation africaine sur les traces de Pixar


En Afrique, l’univers du dessin animé entre en ébullition. Illustration avec le succès de la série « Kenda », co-produit avec la société ivoirienne iMotion, et le long-métrage nigérian « Lady Buckit and the motley mopsters » (LBMM), diffusés par Trace.

Les élections des délégués commencent dans l’école de Kenda… La petite fille et ses amis vont-ils choisir Gros Jules, qui leur offre des biscuits fourrés à la fraise (« sans arrière-pensée »), triche et fait circuler des rumeurs, ou bien vont-ils lui préférer l’intègre Adamo ? Réponse sur les chaînes du groupe Trace, qui co-produit cette série d’animation avec la société ivoirienne iMotion de Stéphane Mendonça.

Le dessin animé (15 épisodes de 5 minutes chacun) a été sélectionné au prestigieux festival spécialisé d’Annecy. Un autre projet diffusé par la chaîne, Lady Buckit and the motley mopsters (LBMM), un long-métrage d’animation nigérian du réalisateur Adebisi Adetayo, fait également partie de la sélection.

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L’animation africaine sur les traces de Pixar

Comment le Québec veut peser en Afrique


Après une année 2020 grippée par le virus, la diplomatie québécoise entend bien être présente à son rendez-vous avec l’Afrique à Djerba. De la présentation de sa stratégie à sa présence au Sommet de l’OIF, elle aura l’occasion de préciser son attachement au continent.

L’année 2021 sera-t-elle celle du passage à l’acte pour le Québec ? Pour cause de pandémie mondiale, les principaux rendez-vous fixés l’an dernier au continent par la diplomatie québécoise n’ont pu avoir lieu.

Annoncée mi-2019, la première stratégie africaine depuis longtemps d’un gouvernement québécois est encore dans les cartons du ministère des Relations internationales et le XVIIIe Sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), porte-voix sans égal de la province sur la scène extérieure, notamment en direction des pays du continent, a été décalé d’un an pour être reporté à la fin de cette année.

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Québec-Afrique : de la parole aux actes

Il est temps de réinventer l’assurance santé !


Le mobile money peut permettre d’améliorer nettement la couverture santé sur le continent, y compris pour les populations les plus vulnérables, soutient le Tunisien Ridha Meftah, fin connaisseur du secteur.

Avant même l’apparition du Covid-19, pas moins de 53 % des Africains sondés par Afrobarometer déclaraient avoir manqué de soins nécessaires au moins une fois au cours de l’année passée, avec les proportions les plus élevées au Gabon, au Togo, au Niger et en Guinée.

Selon l’OMS, la mauvaise santé des Africains a un effet majeur d’aggravation de l’appauvrissement des personnes vivant au-dessus du seuil de la pauvreté, représentant 41% de la population du continent.

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Il est temps de réinventer l’assurance santé !

Rapport 2021 sur la transparence fiscale en Afrique


Selon Sami Zoubeidi, directeur général de la fiscalité, le soutien a donné à la Tunisie «l’opportunité de s’aligner sur les normes et pratiques fiscales internationales, pour garantir un haut niveau de transparence fiscale et pour construire une culture d’échange d’informations dans notre administration fiscale. Cela s’est traduit en revenus supplémentaires en Tunisie, comme c’est le cas dans certains autres pays africains».

Mieux. En 2020, l’Ouganda a identifié 43,2 millions de dollars (34,7 millions d’euros) en ayant envoyé 33 demandes, soit une moyenne de 1,3 million de dollars (1,1 million d’euros) par demande envoyée. L’intérêt pour l’échange d’informations fiscales augmente en Afrique. Selon le même document, le Nigeria a entrepris ses premiers échanges en 2020, rejoignant le Ghana, les îles Maurice, les Seychelles et l’Afrique du Sud, tandis que le Maroc et le Kenya se sont engagés à entamer les premiers échanges en 2022.

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Rapport 2021 sur la transparence fiscale en Afrique

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Rapport de l’Initiative Afrique (IA) du Forum mondial sur la transparence et l’échange d’informations à des fins fiscales