Selon Sami Zoubeidi, directeur général de la fiscalité, le soutien a donné à la Tunisie «l’opportunité de s’aligner sur les normes et pratiques fiscales internationales, pour garantir un haut niveau de transparence fiscale et pour construire une culture d’échange d’informations dans notre administration fiscale. Cela s’est traduit en revenus supplémentaires en Tunisie, comme c’est le cas dans certains autres pays africains».
Mieux. En 2020, l’Ouganda a identifié 43,2 millions de dollars (34,7 millions d’euros) en ayant envoyé 33 demandes, soit une moyenne de 1,3 million de dollars (1,1 million d’euros) par demande envoyée. L’intérêt pour l’échange d’informations fiscales augmente en Afrique. Selon le même document, le Nigeria a entrepris ses premiers échanges en 2020, rejoignant le Ghana, les îles Maurice, les Seychelles et l’Afrique du Sud, tandis que le Maroc et le Kenya se sont engagés à entamer les premiers échanges en 2022.
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Rapport 2021 sur la transparence fiscale en Afrique
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