En route vers le 30e anniversaire du Mois de l’histoire des Noirs


 

Appel de candidatures pour les lauréats 2021

 C’est maintenant le temps de soumettre une candidature

au calendrier du Mois de l’histoire des Noirs.

Vous avez jusqu’au 13 novembre 2020 pour remplir le formulaire en ligne.

 Pour l’édition 30e anniversaire, nous cherchons des candidat.e.s qui ont 30 ans d’implication sociale et communautaire. Les personnes sélectionnées devront par la suite identifier une personne (connue ou non personnellement) de la relève (18-35 ans) qui leur rappelle leur parcours et engagement.

Soumettez une candidature maintenant

Formulaire en ligne ici

CONCOURS  affiche officielle

Comme chaque année, La Table Ronde du Mois de l’histoire des Noirs lance un appel aux artistes pour qu’ils soumettent des propositions d’œuvres picturales symbolisant le thème de l’édition en cours.

Dans le cadre de sa 30e édition, la Table Ronde du Mois de l’histoire des Noirs a retenu le thème suivant: Célébrons 30 ans de succès

Votre œuvre devra respecter l’essence de la description suivante :

Le slogan de l’édition 2021 du Mois est simple et précis. Il veut jeter un regard sur les 30 ans de l’existence de la Table Ronde du Mois de l’histoire des Noirs et célébrer les accomplissements et le chemin parcouru. Dans une conjoncture où l’équité, la diversité et l’inclusion sont encore des sujets débattus, il apparaît important de redéfinir nos sociétés, nos institutions et nos codes. Mais pour l’heure, pour cette 30e édition, nous voulons nous célébrer sans compromis et dans toute notre splendeur et force. Nous recherchons, pour illustrer l’affiche de la 30e édition, une œuvre qui représente le Black Brilliance et le Black Abundance.

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CFA-Eco : la monnaie unique de la Cedeao différée à une date ultérieure


Les chefs d’État et de gouvernement ont acté l’impossibilité de lancer d’ici la fin de l’année la nouvelle monnaie régionale.

Il ne restait plus que quatre mois pour lancer la monnaie unique de la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (Cedeao), comme l’évoquaient régulièrement les textes depuis 2015. Un délai bien court alors qu’il restait encore à créer la banque centrale fédérale, à préciser le régime de change de la nouvelle monnaie, sans compter les nécessaires démarches administratives et informatiques liées à un changement de devise et la fabrication des pièces et billets…

Réunis le 7 septembre à Niamey, les chefs d’État et de gouvernement de la région ont donc acté le report – inéluctable – de la mesure.

Ils ont ainsi décidé de « différer, à une date ultérieure, le lancement de la monnaie unique » et ont évoqué l’élaboration d’une « nouvelle feuille de route », sans pour l’instant déterminer de nouveau calendrier.

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CFA-Eco : la monnaie unique de la Cedeao « différée à une date ultérieure »

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Québec-Afrique : le business avant tout


Depuis 2019, la Belle Province a officiellement « une vision » pour le continent. Mais cette stratégie, plus économique que politique, reste encore à préciser.

Les signes d’un intérêt soutenu du Québec pour l’Afrique sont de plus en plus nombreux et de plus en plus visibles ces dernières années. En particulier au niveau politique, avec une « vision » en cours de définition et la nomination d’un chargé de mission pour le continent auprès du Premier ministre québécois, François Legault.

Mais ils sont surtout économiques, à l’image des 45 missions commerciales organisées à travers le Maghreb et l’Afrique de l’Ouest en 2019 ou de la présence, jusqu’alors rarissime, du continent lors de la 25e Conférence du Forum économique international des Amériques organisé à Montréal en juin de la même année.

Invitée en tant que secrétaire générale de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), Louise Mushikiwabo avait profité de cette tribune pour rappeler que « l’Afrique [devait] cesser d’être un sujet de charité pour devenir un vrai partenaire ».

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Québec-Afrique : le business avant tout

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Selon une enquête sur la ZLECA : Le commerce intra-africain très faible


Plus de 70% des PDG africains estiment que le commerce intra-africain augmentera au cours des 12 prochains mois, selon une enquête publiée jeudi, reprise par l’APS. L’enquête «Africa CEO Trade Survey 2020» montre que, contrairement à d’autres régions du monde, le commerce intra-africain reste très faible, à 15%, laissant davantage de marge de croissance.

«La Zone de libre-échange continentale africaine (Zleca) pourrait également servir de catalyseur opportun pour stimuler le commerce intra-africain», indique l’enquête menée par le Comité panafricain du commerce et de l’investissement du secteur privé (Paftrac) et Afreximbank. Les conclusions de l’enquête, du moins telles que rapportées par l’APS, ne montrent pas les défis que soulève présentement la question du redressement économique dans le monde du fait déjà de la crise sanitaire et les incertitudes qu’elle laisse montrer à brève échéance. L’économie mondiale, n’est-ce pas, reste en effet tributaire de l’évolution de la pandémie, qui vient de mettre à genoux nombre d’activités de poids et de fermer les frontières dans pas mal de pays.

Quoiqu’il en soit, les PDG africains pensent que la Zleca crée des conditions d’échelle et devrait permettre d’améliorer la compétitivité et la productivité, ce qui accélérera la transformation des économies africaines pour une meilleure intégration dans l’économie mondiale. L’enquête souligne également que le secteur privé africain reste optimiste quant au commerce international, plus de 50% des PDG africains estimant que le commerce mondial augmentera au cours des 12 prochains mois. Selon les résultats de l’enquête, bien que plus de 80% des PDG africains rencontrent plusieurs difficultés dans le commerce mondial et intra-africain, ils croient toujours fermement au pouvoir du commerce qui a été le principal moteur de la croissance et des transferts de technologie et reconnaissent également que le commerce a été très important pour leurs entreprises. L’Afrique représente moins de 0,8% des exportations algériennes. La zone de libre-échange commerciale de l’Afrique est une zone dans laquelle les biens et les services circulent sans restriction entre les Etats membres de l’Union africaine (UA).

Cet accord a été signé par 44 pays africains lors de son lancement en 2018 à Kigali, et est entré en vigueur le 30 mai 2019. Cet espace constitue un marché de 1,2 milliard de consommateurs et un potentiel commercial estimé à plus de 3000 milliards de dollars.

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Selon une enquête sur la ZLECA : Le commerce intra-africain très faible