Exposition : « Le monde en tête » fait découvrir les couvre-chefs africains


Jusqu’au 15 mars 2020, le Musée des confluences de Lyon expose les trois cents coiffes rassemblées pendant près de trente ans par Antoine de Galbert, héritier du groupe Carrefour et mécène. Ces couvre-chefs s’offrent comme des bouquets ou des buissons savamment éclairés, regroupés par fonctions.

Les coiffes spécifiquement africaines sont disséminées dans les treize sections de l’exposition, au milieu de celles qui proviennent d’Asie ou d’Amérique, symbolisant tour à tour le passage à l’âge adulte, le statut de guerrier ou celui de chef.

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Exposition couvre-chefs africains

Espionnage : qui écoute qui en Afrique ?


Entre surveillance des opposants et des terroristes, le marché des « grandes oreilles » explose sur le continent africain.

Chefs d’État, opposants, hommes d’affaires : nul n’est à l’abri des hackers, et s’en prémunir est une vraie gageure.

Du Gabon à la Côte d’Ivoire en passant par le Cameroun, enquête sur cette très lucrative guerre de l’ombre.

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Espionnage qui écoute qui en Afrique

[SEEA-MTL] Prochaine conférence à l’UQAM – Jeudi 13 février 2020 à 19h


Le Chapitre de Montréal de la Société pour l’Étude de l’Égypte ancienne et le département d’Histoire de l’UQAM sont heureux de vous convier à la conférence intitulée:
«L’amulette du cœur sur corde dans les représentations de l’Égypte pharaonique : évolution et signification»
présentée par Cynthia Parra, M.A. en histoire, UQAM,

Date: Jeudi 13 février 2020 à 19h

Lieu: UQAM, salle A-1720, Pavillon A, 400 rue Sainte-Catherine Est

Entrée libre

Résumé de la conférence:

Basée sur son mémoire de maitrise, Cynthia Parra nous présente sa recherche qui visait plusieurs objectifs. Tout d’abord, elle a voulu combler les lacunes des ouvrages précédents sur le sujet en ajoutant des données et en explorant davantage certaines représentations. Pour ce faire, elle a méticuleusement ratissé les musées et les sites archéologiques afin de trouver des représentations du cœur en pendentif. Elle est arrivée à un total d’un peu plus de 138 artéfacts illustrant le cœur comme suspension. Ceux-ci ont été traités en groupe soit sur un mortel, sur un enfant, sur un ennemi, sur une divinité et ceux ne figurant pas autour du cou.

La seconde partie de la recherche cherchait à étudier la possibilité que le cœur sur bijou soit une manifestation du changement de paradigme chez les Égyptiens qui a contribué au décloisonnement de l’accès à l’au-delà. Elle a constaté que la réponse était nuancée. En effet, le cœur pourrait être un élément de preuve démontrant un décloisonnement limité connecté au changement de mentalité. Toutefois, l’organe cardiaque possède une si grande variété de significations que nous ne pouvons pas affirmer avec certitude que sa présence accrue au Nouvel Empire est, sans l’ombre d’un doute, un symbole de ce changement.

Lors de cette conférence, Cynthia Parra nous présentera quelques cas tirés de son mémoire et nous exposera les conclusions de sa recherche.

Cloé Caron, présidente

Comment et pourquoi les femmes fabriquent le très prisé beurre de karité


Pour fabriquer du beurre de karité, huile végétale extraite des fruits de l’arbre du même nom, typique de la savane d’Afrique, le processus est long. Un produit alimentaire, mais aussi cosmétique, aux multiples vertus.

Le beurre de karité est une huile végétale comestible extraite des fruits du karité («vie» en langue mandingue), un arbre poussant principalement dans les zones arborées de la savane africaine, en Afrique de l’Ouest, centrale et de l’Est.

C’est à partir des fruits de cet arbre, qui ressemblent à des noix, et qui enveloppent une amande blanche et grasse, que le beurre de karité est produit.

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Comment et pourquoi les femmes fabriquent le très prisé beurre de karité