Incitatifs à l’épargne- études


La planification des études postsecondaires des enfants dans un programme d’apprentissage, un cégep, une école de métiers, un collège ou une université leur ouvre la porte à une multitude de possibilités.

Dans le but d’aider à épargner pour les études futures d’un enfant, le gouvernement du Canada offre deux incitatifs à l’épargne-études, lesquels sont versés dans un régime enregistré d’épargne-études (REEE).

Voir les détails dans ce dépliant :

Dépliant pour diffusion

Pour en savoir plus, vous pouvez consulter : canada.ca/epargne-etudes

Anémie falciforme : Héma-Québec incite la communauté noire à donner du sang


Héma-Québec poursuit ses efforts pour inciter les membres des communautés noires à donner du sang. C’est que l’organisme a besoin d’augmenter ses réserves et d’en assurer l’accès à des personnes souffrant de certaines maladies, notamment l’anémie falciforme.

Mathias et son frère Matteo, âgés de 7 et 9 ans, sont atteints d’anémie falciforme (aussi appelée drépanocytose), une maladie héréditaire du sang qui peut causer de fortes douleurs chez ceux qui en souffrent. Matteo a été diagnostiqué à la naissance, et son grand frère, lorsqu’il avait 15 mois.

Aujourd’hui, les deux frères doivent aller à l’hôpital toutes les cinq semaines pour suivre un traitement, un échange transfusionnel.

Les transfusions que les deux garçons reçoivent permettent d’atténuer les effets de la maladie.

Or il est préférable pour les malades de recevoir du sang de personnes ayant un bagage génétique semblable au leur, car cela réduit les risques de réactions aux transfusions.

Toutefois, les donneurs au sein des communautés noires ne sont pas nombreux.

C’est pourquoi depuis quelques années, Héma-Québec déploie des efforts pour rejoindre davantage les donneurs de ces communautés. Cette année, l’organisme souhaite avoir un minimum de 300 donneurs provenant de la communauté noire.

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En RDC, les acteurs du numérique s’organisent


Simples passionnés, développeurs, entrepreneurs, parfois les trois à la fois, ils ont lancé des applications et des services digitaux spécialement conçus pour la génération des consommateurs connectés.

À la Gombe, diplomates, élus, ministres, patrons, cadres, geeks, qu’ils soient congolais, expatriés ou en voyage d’affaires, tous se croisent désormais sur les terrasses des nouveaux « shopping malls » du centre-ville de Kinshasa.

Ce soir-là, la fraîcheur de la saison sèche se fait encore attendre dans la capitale. Mais, dans les têtes, ça bouillonne d’idées. Au coin d’une table, un groupe de jeunes papote autour de Biko Mungala, un consultant en stratégie longtemps basé en Afrique de l’Ouest qui veut désormais faire bénéficier sa RD Congo natale de son expérience.

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Croissance, tourisme, infrastructures… La Côte d’Ivoire abonnée aux prix d’excellence ?


La Côte d’Ivoire est abonnée aux prix d’excellence ces derniers temps. Elle compte de plus en plus d’infrastructures. Le nombre de touristes a été multiplié par quatre depuis 2014.

Sa croissance galope (+ 7,8 % en 2017), et le pays occupe la quatrième place des champions subsahariens derrière la Guinée (+ 8,2 %), le Ghana (+ 8,4 %) et l’Éthiopie (+ 10,9 %). Son déficit budgétaire et sa dette sont sous contrôle. Le taux d’inflation officiel est au-dessous de 1 % par an. Sa balance commerciale est excédentaire, et le revenu par habitant a augmenté de 62,2 % depuis 2012.

Ce tableau flatteur permet à la Côte d’Ivoire de trouver sans mal l’argent dont elle a besoin. En juin 2017, elle avait procédé avec succès à l’émission d’un Eurobond avant de récidiver en mars pour un total supérieur à 3,5 milliards de dollars (3 milliards d’euros).

Voir l’article de Jeune Afrique daté du 28 juin 2018 :

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