Les prises de position politiques et les affaires florissantes de l’animateur de RFI lui valent d’être sous le feu des critiques. Lui se présente comme un électron libre, défenseur de la souveraineté africaine. Rencontre.
Quatre mois. C’est le temps qu’il a fallu patienter pour obtenir un rendez-vous avec Alain Foka. Un jour à Salvador de Bahia pour le tournage de son documentaire sur la communauté afro-brésilienne des Agoudas, un autre à Montréal pour une série sur la diaspora africaine, le suivant à Conakry pour la première interview post-coup d’État de Mamadi Doumbouya, avant un détour par le Cameroun, le Bénin, la RD Congo…
Le journaliste est un homme occupé. Piles de livres et de vidéos disposées çà et là, posters géants, c’est dans un bureau sans prétention qu’il nous a reçu à Radio France Internationale, avenant, dans le calme d’un après-midi de week-end.
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