Les tensions liées à l’accès à la terre et l’usure de sols trop sollicités par une agriculture intensive ne cessent de croître. Pour y remédier, il faut miser sur des pratiques écologiques, fondées sur les savoir-faire locaux.
Ne nous voilons pas la face. Fini les défis sans agenda, il nous faut une stratégie ! Fini de croire que nous couvrirons l’Afrique de tracteurs, d’engrais chimiques, d’OGM et de produits phytosanitaires, de davantage de plantations « exotiques » et de splendides pivots d’irrigation.
Nous sommes, paraît-il, le continent qui se prête le plus à l’extension des surfaces cultivées – malgré leur doublement, depuis 1975, en Afrique de l’Ouest. Des États, des multinationales, des bourgeoisies nationales achètent nos terres ou se les accaparent, c’est selon.
Voir l’article source de Kako Nubukpo :