Coronavirus : l’Afrique face à la pandémie des fake news


Depuis l’apparition de la pandémie de Covid-19, une épidémie d’informations contradictoires et de désinformation manipulée se propage aux quatre coins du globe. Si l’Afrique est jusqu’ici le continent le moins touché par le virus, elle ne résiste pas à la fièvre des fake news.

Moins d’un mois après avoir exprimé son « respect » à l’égard de son homologue chinois, Xi Jinping, pour « ses efforts » et « sa transparence » dans la gestion de l’épidémie de Covid-19, Donald Trump a donc décidé de punir l’Organisation mondiale de la santé (OMS), en la privant de la contribution annuelle des États-Unis, laquelle s’élève à près de 900 millions de dollars.

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Coronavirus : l’Afrique face à la pandémie des fake news

Quelle finance africaine souhaitons-nous véritablement ?


Les 10 et 11 mars prochains, un demi-millier de décideurs publics et privés actifs en Afrique sont conviés* à codéterminer – occasion inédite – le futur et les buts de la finance sur notre continent.

Au milieu des hosannas et satisfecits proclamés ici, distribués là, le nombre de pertes humaines dues officiellement au Covid-19 demeurant en-dessous des « anticipations », le continent ayant échappé à l’hécatombe redoutée : un certain soulagement est possible.

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Sommet France-Afrique, le rendez-vous de la Françafrique intellectuelle


En participant au sommet de Montpellier, les 9 et 10 juillet 2021, Achille Mbembe et d’autres intellectuels africains se font « la voix de leur maître ». Il n’appartient pas à la France de guérir le continent de son trauma postcolonial.

« On avait fourré dans sa pauvre cervelle qu’une fatalité pesait sur lui ; qu’il n’avait pas puissance sur son propre destin. » (Aimé Césaire, dans Cahier d’un retour au pays natal, éditions Présence africaine). Nous y sommes tous, à des degrés divers. Nous y sommes tous, l’intellectuel plus que les autres. Nous y sommes tous, mais beaucoup n’en sont pas conscients.
Quels préalables conduisent l’intellectuel africain à croire au messianisme de la France sur le destin de l’Afrique !

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 Sommet France-Afrique, le rendez-vous de la Françafrique intellectuelle

« Refondre l’enseignement est une solution durable au chômage des jeunes »


Chômage, sous-emploi, formation professionnelle. Le ministre ivoirien de la Promotion de la Jeunesse et de l’Emploi des jeunes, Mamadou Touré, a accepté de revenir pour Jeune Afrique sur les dossiers qu’il gère depuis sa nomination en juillet 2018.

Plus jeune ministre du gouvernement Gon Coulibaly II, le très médiatique Mamadou Touré, 43 ans, est ministre de la Promotion de la Jeunesse et de l’Emploi des jeunes depuis juillet 2018.

Membre du Rassemblement des républicains (RDR), il connaît bien la problématique du chômage des jeunes ivoiriens puisqu’il a successivement occupé les postes de conseiller technique chargé de la jeunesse à la présidence, secrétaire d’État à l’Enseignement technique puis à la formation professionnelle.

De passage à Paris le 24 mai dernier, à l’occasion d’une rencontre organisée sur l’emploi décent par l’Agence française de développement (AFD), il revient sur les besoins en formation d’un pays où 30 % des actifs sont surqualifiés pour l’emploi qu’ils occupent et où les jeunes diplômés sont les plus touchés par le chômage.

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