EXPO SCARS – du 7 mars au 7 avril 2023

du 7 mars au 7 avril 2023

VERNISSAGE ET PANEL DE DISCUSSION du vendredi 31 mars 2023

Scars est une série photographique qui parle de fibromes utérins et de la façon dont cette affection s’immisce dans la vie d’une personne et de celle de ses proches.  L’artiste photographe Vanéssa Pierre-Louis et l’association québécoise Vivre 100 Fibromes proposent un regard franc et intime sur ce problème de santé féminine afin de dénoncer les tabous et de briser l’isolement qui entoure les fibromes utérins.  C’est le début d’une conversation de guérison et de changement.

Vanessa Pierre-Louis, photographe

À PROPOS DE L’ASSOCIATION VIVRE 100 FIBROMES 

Vivre100fibromes est un organisme fondé en 2016 dont la mission est d’améliorer la qualité de vie et la prise en charge médicale des femmes atteintes de fibrome utérin au Québec au travers de la sensibilisation, de l’information, la contribution et la mise en place de partenariat.

Le fibrome utérin est une tumeur bénigne située dans l’utérus. Il entraîne une panoplie de complications (anémie, fausse couches, règles hémorragiques, etc.) et impacte de manière directe la qualité de vie des femmes du Québec. Le fibrome touche environ 20% à 40 % de la population féminine caucasienne en âge de procréer et jusqu’à 50% des femmes noires de plus de 35 ans pour qui les fibromes sont plus volumineux et nombreux (pour en connaître davantage sur le sujet  : https://vivre100fibromes.ca/)

Quelles perspectives pour l’art africain ?


Du 14 au 19 février, Cotonou, Porto-Novo et Ouidah accueillent le Festival international des arts du Bénin (FInAB). L’occasion, pour Jean-Michel Abimbola, ministre du Tourisme, de la Culture et des Arts, et Ulrich Adjovi, promoteur de l’événement, de plaider pour une meilleure valorisation du secteur culturel.

Longtemps réduit à des objets artisanaux décoratifs et/ou utilitaires, ou encore aux seules expressions culturelles des sociétés et des groupes sociaux du continent, l’art africain est mieux considéré depuis quelques années.

Au Bénin, notamment, il représente un enjeu économique majeur, et les initiatives visant à le valoriser foisonnent. Le Festival international des arts du Bénin (FInAB) en est d’ailleurs le dernier exemple. Un regain de dynamisme à saluer, certes, mais qui invite aussi à s’intéresser de plus près à l’écosystème artistique africain.

Porté par un savoir-faire ancestral, l’art africain n’a jamais été autant mis en lumière. Dans toutes les disciplines (sculpture, peinture, arts plastiques, arts de la scène, cinéma, littérature, mode, etc.) et aux quatre coins du continent, les artistes rivalisent d’idées et de prouesses.

En 2021, les ventes des créateurs africains ont atteint un montant record : 72,4 millions de dollars, soit une hausse de 44% par rapport à l’année précédente. En 2017, l’industrie musicale africaine avait rapporté plus de 17 milliards de dollars, hors concerts – un chiffre en augmentation en dépit de la parenthèse liée à la crise du Covid-19.

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Quelles perspectives pour l’art africain ?

Voir également :

Art africain : Pigozzi, Zinsou, Hiridjee… Dans le petit monde des grands collectionneurs

ainsi que :

Gazelle Guirandou, la galeriste ivoirienne qui parie sur la jeune génération d’artistes africains

 

Les infrastructures, plus que jamais une priorité pour l’Afrique


Pour exploiter au mieux son potentiel économique, le continent doit investir 100 milliards de dollars par an dans les infrastructures. Le 2e Sommet sur le financement des infrastructures, qui s’est tenu les 2 et 3 février à Dakar, a sensibilisé acteurs politiques et bailleurs de fonds.

Un proverbe éthiopien bien connu affirme que « le regret, comme la queue, vient à la fin ». Ce proverbe énonce succinctement ce que je crois être une vérité universelle et un reflet de la manière dont nous, Africains, avons tendance à considérer la sombre situation dans laquelle se trouve le monde aujourd’hui.

Les derniers développements diplomatiques ont forcé les dirigeants de la planète à concentrer leurs efforts sur les affaires intérieures de leurs propre pays, et loin du continent africain. Il ne faut pas le regretter, bien au contraire : c’est une occasion, pour l’Afrique, de se tenir sur ses deux jambes.

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Les infrastructures, plus que jamais une priorité pour l’Afrique