À cinq mois de l’Africa Web Festival la gestion des marchés publics de la Côte d’Ivoire fait un pas de géant


Le gouvernement ivoirien vient d’engager le processus de dématérialisation des marchés publics. Ce que cela signifie ? Réduction du coût et des délais pour les entreprises qui soumissionnent pour des contrats publics.

La réalisation de cette opération a été confiée à des PME ivoiriennes. Tout de suite, le passage à la gestion électronique se fera au sein de la fonction publique et dans une deuxième étape prévue pour janvier 2019 les acteurs privés seront concernés.

Autrement dit, toutes les entreprises qui feront affaire avec le gouvernement utiliseront le module «E-marchés publics»  (processus pour faire une requête ou soumission), le module «E-learning» (apprendre comment utiliser ces nouvelles procédures), et le module « Décisionnel » qui générera des tableaux comparatifs et fera les rapports sur les contrats accordés.

Tenez-vous bien, ce qui prend actuellement jusqu’à 130 jours (en 2013 ..on parlait de 320 jours) en démarches administratives de toutes sortes imposées au secteur privé se fera en 88 jours.

À suivre attentivement. Source : La Tribune

Mariam Sy Diawara

 

 

 

 

Beaucoup de chemin à faire de part et d’autre


En lisant le document intitulé Le point sur le Commerce et l’Investissement international du Canada 2017, on réalise tout le chemin qui reste à faire pour que notre pays le Canada et l’ensemble des pays d’Afrique atteignent un niveau adéquat de rapports commerciaux, tant au plan de l’exportation que de l’importation.

C’est comme si on n’avait pas conscience ici de ce qui s’annonce dans dix ans sur le grand continent africain et que les problèmes de gouvernance stoppaient nos stratégies de développement.

Or, l’Afrique sera plus peuplée, plus instruite, plus transparente et intègre dans sa gouvernance et nous, les canadiens, on pourrait rester encore loin derrière la parade des pays émergents qui ont déjà évalué la part de risque et investi leurs capitaux sur la terre promise.

Bravo pour l’appui humanitaire renforcée depuis peu puisqu’il s’agit du fondamental, mais à la Maison de l’Afrique de Montréal on continuera de multiplier les efforts pour construire des liens solides et productifs  entre les jeunes entrepreneurs africains et canadiens,  comme on souhaite le faire encore davantage pour les artistes et les créateurs.

Yvan Asselin

 

Impact Water des solutions d eau potable à grande échelle


Quand Impact Carbon, une organisation à but non lucratif, est arrivée en Ouganda, elle cherchait le moyen d’améliorer la production et la qualité de foyers de cuisson à combustion propre. Son objectif : réduire les émissions de CO2 et atténuer la pollution de l’air intérieur. Un article du journal ougandais Daily Monitor.

Le projet avançant, Impact Carbon s’est rendu compte de la nécessité d’introduire simultanément un système de purification de l’eau.

« Il nous a semblé que nous pouvions aussi voir les systèmes de purification de l’eau comme des moyens de réduire la consommation de combustible à base de bois. Les maisons et les institutions peuvent y avoir recours au lieu de faire bouillir l’eau en utilisant beaucoup de bois, ce qui a un impact négatif sur l’environnement », explique Mark Turgesen, directeur d’Impact Carbon et d’Impact Water en Ouganda.

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De la lumière dans les chaumières


« Gab by Light », un fournisseur de solution qui veut apporter aux couches de la population les plus démunies de l’énergie solaire alliant faible coût, facilité d’utilisation et souplesse d’installation. Servir l’humain est leur ambition. Un article du journal gabonais Les Echos du Nord.

« Il y a deux sortes d’énergie inépuisables : le soleil et la volonté », lance Dominique Balle, jeune femme longiligne, d’une trentaine d’années. La lumière du soleil est gratuite et « Gab by Light » mettra donc la lumière à la portée de tous et à tout moment.

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