Si vous cherchez un roman dans le but de vous réconcilier avec la nature humaine, passez votre chemin. Vladimiro Caposso, le héros de Prédateurs, est l’archétype du self-made-man à qui tout réussit… grâce à son degré zéro de moralité. Le livre commence d’ailleurs par une scène de meurtre, ce qui pose d’emblée le décor.
Prédateurs, c’est l’histoire d’un fils d’infirmier qui ne recule devant rien et finit par se hisser d’un petit bourg perdu dans la brousse, près du fleuve Cuanza, jusqu’aux plus hautes sphères de Lagos… Sans oublier de remplir au passage de nombreux comptes bancaires dans les paradis fiscaux.
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